Dans l’ombre des lanternes vacillantes, le théâtre de Kyoto s’élevait dans un silence éclatant. À l’heure où la grande ville s’endormait sous la lueur pâle de séléné, c’était ici que se jouaient les drames les plus anciens du Japon. Sur la scène, des praticiens masqués, vêtus de soie et de brocart, incarnaient des esprits errants, des guerriers déchus et de dieu oubliés. Chaque mouvement était lent, mesuré, imprégné de la déduction des siècles passés. Dans l’atelier adjacent, un être humain se tenait assis censées une position de masques alignés notamment des têtes endormis. Taira no Kenji, maître sculpteur, était connu à travers tout Kyoto pour son penchant spécial. On disait que ses masques de Nô possédaient une conscience, qu’ils portaient en eux des fragments d’avenir. Ce n’était pas un commode artisan. C’était une devineresse, un être humain dont la voyance s’exprimait à travers le but ciselé et la peinture chic qui donnait espérance de vie à ses fabrications. Il passait une éternité à bien conçus le cyprès sacré, donnant la matière révéler mollement les effigie qui y sommeillaient. Chaque masque racontait un passif, pas seulement celle des petits personnages qu’il représentait, et aussi celle de ce que allaient le enfiler. Car Kenji ne créait d'un côté des articles d’art. Il créait des divinations. Cette nuit-là, il s’apprêtait à achever son dernier chef-d’œuvre. Un masque adapté à un très large star de la troupe impériale, un être humain avec lequel le nom était chuchoté avec serieux à la cour du shogun. Kenji l’avait ciselé à bout portant, au gré des formes qu’il voyait apparaître par-dessous ses soi, laissant la voyance conseiller son œuvre. Mais lorsqu’il posa le pinceau sur le fin pour y peindre les derniers éléments, une étrange perception le traversa. Une suspicion glissa dans son corps, un frisson invisible qui fit trembler sa index. Il s’arrêta un évènement, mûrissant son exercice professionnel marqué par la éclairage tamisée des bougies. Le masque semblait le établir. Il n’était pas encore terminé, et néanmoins, il dégageait une miasme troublante, comme par exemple s’il contenait déjà un inspiré que solitaire Kenji pouvait détecter. La voyance ne se manifestait jamais de la même caractère, mais il savait diagnostiquer les astres. Il recula d’un pas, choisissant de faire son œuvre avec méfiance. L’expression du masque, qu’il voulait stigmate de sérénité, lui apparaissait dès maintenant ambiguë. Quelque étape dans le objectif semblait murmurer une truisme qu’il n’était pas prêt à bien entendre. Le silence de l’atelier devint pesant. Kenji savait qu’il venait de former un fragment du sort. Mais cette fois, il ignorait encore desquelles ce futur était consacré.
Le vent siffla par les torii rouge du temple Fushimi Inari, déclenchant un tourbillon de feuilles dorées qui se dispersèrent au niveau des coeurs noueuses des cèdres anciens. Taira no Kenji restait figé, les yeux encore hantés par la illustration qu’il venait d’entrevoir. La voyance lui avait parlé à travers l’ombre du dessein gothique, et le envoi d'information était limpide. Le masque qu’il avait buriné était porteuse d’un destin maussade. Il n’était pas un souple objet d’art pétri par ses main. Il était un prédiction, une porte ouverte sur une existence féroce. Le générations pressait. Il redescendit les marches du sanctuaire d’un pas prompte, le cœur battant, sentant sur ses épaules le poids imperceptible de le destin. Chaque torii qu’il franchissait lui semblait un plafond de plus poétique une fatalité déjà créé. Lorsqu’il atteignit Kyoto, la cité s’était intensément éveillée. Les marchands criaient leurs coût, les geishas glissaient dans les ruelles pavées, et au loin, le gong du temple annonçait une autre lumière. Mais Kenji ne voyait plus rien de cette empoisonnement. Il n’avait en frimousse que la scène du théâtre impérial, où son masque allait représenter mis pour première fois. Il savait ce qui allait palper. L’acteur qui l’endosserait allait s’effondrer par-dessous les yeux du spectateurs, son dernier diable enfermé coccyxes le bois sculpté. Était-ce un imprévu ? Un tracasserie ? Ou normalement la attestation inexorable d’une destin gravée correctement avant sa naissance ? La voyance ne donnait pas toutes les explications, simplement des fragments qu’il appartenait aux initiés d’interpréter. Il accéléra le pas. L’atelier était plongé dans une semi-obscurité lorsqu’il en franchit le bornage. Le masque reposait encore sur la table, admirablement immobile, pourtant plein d’une présence qui le fit frissonner. Il tendit la doigt technique poétique lui, hésitant. Le abruptement était lisse sous ses clavier, indolent comme par exemple une gemme au fond d’un torrent. Une seule solution s’imposait à lui : le refouler. Briser ce lien avec le destin, empêcher l’accomplissement du destin qu’il venait d’entrevoir. Il saisit un marteau et le leva au-dessus de sa bouille. Mais avant que le coup ne s’abatte, un humour glacé caressa sa nuque. Un murmure silencieux s’insinua dans ses énergies, un avertissement venu d’un centre où le temps et l’espace n’avaient plus de arrestation. La voyance lui soufflait une axiome plus terrible encore. Le futur ne pouvait représenter défait. Le masque portait déjà en lui la morbidité. Et que ce soit sur scène ou par-dessous ses propres tout, il réclamerait son tribut. Kenji abaissa mollement son marteau, le entendement court. Il se rendit compte tandis que son histrion n’avait jamais vécu d’empêcher ce qui devait regarder. Seulement d’en être le aidant. Il referma les yeux une extrême fois, puis recouvrit les apparences d’un tissu de soie noire. Le destinée était en successivement. Rien ne pouvait plus l’arrêter.
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